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PHystorique- Les Portes du Temps
29 juillet 2019

Organisation des légions romaines d'Auguste à Alexandre Sévère - 2000 ans de l’Arc Germanicus de Saintes

Time Travel Organisation des Légions Romaines d'Auguste à Alexandre Sévère 2000 ans de l'arc Germanicus de Saintes

Après que Marius eut ouvert les rangs de l'armée aux citoyens de la dernière classe — la plus nombreuse — à ceux qui ne possédant rien, n'étaient inscrits sur les tables du cens que pour leur personne — Capite censi — et après surtout que les commandements eurent été prolongés, les légions où le service durait de 16 à 20 ans, se détachèrent de plus en plus de l'Etat pour s'attacher à leurs généraux. Il y eut des armées syllaniennes, marianistes, pompéiennes, césariennes. (1 )

Ces armées se recrutèrent facilement, pendant les guerres civiles, dans les territoires qu'elles avaient dévastés. Les Italiens, dépouillés, réduits au désespoir, venaient s'abriter sous l'Aigle. Ils y trouvaient la considération qui s'attache à ce qui peut se faire craindre, les aubaines que procure la victoire et finalement l'aisance dans leurs vieux jours grâce à l'argent et aux terres qui tenaient lieu de pension de retraite aux vétérans. D'autre part, les mercenaires recrutés un peu partout, n'étaient astreints au service que pour un temps déterminé et devaient être congédiés sitôt la paix conclue.

Auguste résolut de réorganiser l'armée jusque dans ses menus détails; ses réformes portèrent surtout sur 6 points : les légions, les auxilia, les troupes cantonnées dans Rome ou aux environs, les flottes, l'artillerie, le génie, les milices provinciales et municipales. Il va créer une armée qui prêtera serment au prince devenu l'Imperator et qui sera placée sous les ordres de ses délégués, commandant en son nom : le gouverneur des provinces impériales, legati Augusti propraetore. et à Rome, trois préfets (fonctions nouvellement créées) : Praefectus praetorio. praefactus urbi et praefectus vigilum.

1°) LES LÉGIONS.

 — A coups d'irrégularités, de levées en niasse oppressives et ruineuses, le nombre des légions s'était démesurément accru; mais leur effectif était bien faible. Un grand nombre d'entre elles furent licenciées, d'autres servirent à créer des colonies, ou à renforcer les corps maintenus. A la mort d'Auguste, il n'y avait plus que 25 légions. Mais ses successeurs en créèrent quelques autres (Claude - 2 - ; Néron - 1 -; Galba - 2 - ). Vespasien en trouva 30 à son avènement : lui et ses successeurs conservèrent ce chiffre. Quelques légions ayant été anéanties, comme les 3 légions de Varrus et la Ve Alaudae par les Sarmates. elles furent remplacées par d'autres nouvellement créées: certaines furent dissoutes et reconstituées sous d'autres noms et d'autres numéros. Septime Sévère en créa 3, soit un total de 33, mais après Dioclétien, ce nombre s'élèvera de nouveau peu à peu jusqu'à 175.

Pendant cette période, la légion comprendra toujours 5 à 6.000 hommes répartis en 10 cohortes et en 60 centuries.

Organisation des légions romaines d'Auguste à Alexandre Sévère - 2000 ans de l’Arc Germanicus de Saintes

La paix romaine étant établie, il fallut : masser aux frontières et répartir l'armée devenue permanente dans des cantonnements fortifiés, bien situés et reliés entre eux par des voies militaires différentes; répartir les différentes armes dans les détachements et réglementer le service de garnison. Aussi les légions eurent-elles à nouveau de la cavalerie: 120 cavaliers répartis en 4 turmes. Les cohortes prétoriennes reçurent aussi de petits détachements de cavalerie.

Chaque légion était placée sous le commandement d'un legatus legionis d'ordre sénatorial, commandant la légion et les troupes auxiliaires qui y étaient associées et qui s'y trouvaient en nombre aussi élevé que l'effectif de la légion. C'était une sorte de général de division. Chaque gouverneur de province avait donc autant de légats que de légions.

Dans les places, on créa des commandants de places ou praefacti castrorum, qui étaient en général d'anciens centurions, ou mieux d'anciens ptimipili ayant terminé leur carrière de légionnaires ; ces fonctionnaires n'étaient donc pas d'ordre sénatorial. Qu'il y ait une ou plusieurs légions dans le camp ou de simples détachements de une ou plusieurs légions, il n'y avait à la tête du camp qu'un seul praefactus castrorum.

A partir de Domitien, chaque légion eut ses castra propres, elle posséda donc ses praefecti, qui devinrent dès lors praefecti legionis; sous Gallien, ces derniers remplacèrent les legati legionum.

Les tribuns militaires conservèrent toujours leurs anciennes fonctions, mais ils furent soumis aux legati légionis et cédèrent quelques-uns de leurs droits au praefectus castrorum, là où il existait. Néanmoins, les tribuns restèrent toujours les chefs immédiats de la légion pendant les marches et les batailles. Leur service ordinaire était de tenir les listes à jour, de donner leur congé aux soldats libérés, d'accorder des permissions, de faire manœuvrer les troupes, de veiller aux vivres et aux approvisionnements, d'inspecter l'hôpital, d'exercer la juridiction dans le camp, ils étaient en outre responsables de la discipline militaire et de l'aptitude au service des légionnaires.

Aux derniers temps de l'empire les tribuni vacantes étaient d'anciens officiers, qui leur temps de service terminé, quittaient l'armée tout en restant au service de l'empereur, et pouvaient, en cas de nécessité, être pourvu d'un commandement à titre extraordinaire.

Les centurions de l'empire se divisaient en deux classes : les primi ordines qui étaient les chefs des cohortes, et les ordinarii ou simples centurions.

2°) LES AUXILIA. — Ne furent plus comme jadis les troupes étrangères levées dans les provinces, ou fournies par les rois or les peuples alliés. Ce furent tous les corps autres que les légions, qui se trouvaient dans les provinces, qu'ils fussent composés de citoyens ou de pérégrins. Or à mesure que le droit de cité romaine se répandit — Caracalla l'accorda à tous les habitants de l'empire — la condition pérégrine devint de plus en plus rare et à part quelques mercenaires barbares, tous les auxilia finirent par être tous citoyens romains.

L'effectif des auxilia varia suivant les circonstances et ne fut pas inférieur à celui des légions.

Les auxilia comprenaient les corps suivants : Les Vexilla veteranorum, corps d'élite formé d'anciens légionnaires libérés (comme les evocati de la période précédente) jouissant de certains avantages. Dispensés du service ordinaire, ils n'étaient tenus que de combattre. Leur effectif était égal ou supérieur au 1/10 de la légion.

Les Cohortes civium Romanorum, créés aux premiers temps de la période étaient un corps d'engagés volontaires, citoyens romains, mais dont l'accès n'était pas ouvert aux pérégrins. Le service y était de 25 ans. Il y eut jusqu'à 33 de ces cohortes.

Les Cohortes auxiliariae qui étaient recrutées dans les provinces constituaient la partie la plus importante des auxilia, soit toute la cavalerie romaine et une grande partie de l'infanterie.

Quelques-unes de ces cohortes étaient armées et disciplinées à la romaine, les autres avaient conservé leurs armes nationales, d'où des appellations diverses : sagitarii, scutati, contarii (2 ), catafracti, funditores, etc. Il y avait donc une grande variété dans l'armement de ces cohortes, comme dans les emplois dont elles étaient susceptibles, mais tous leurs hommes étaient aimés à la légère, d'où le nom de leves cohortes.

Les cohortes auxiliariae étaient de deux types :

1°) les cohortes quingenariae de 500 hommes répartis en six centuries — 2°) les cohortes miliariae de 100 hommes répartis en dix centuries. Parfois quelques cavaliers étaient adjoint à ces cohortes d'où en définitive 4 sortes de cohortes auxiariae : Cohortes quingenariae peditatae. ; Cohortes miÍiarial peditatae ; Cohortes agenariae equitatae ; Cohortes miliariae equitatae.

La cohors miliaria equitata comprenait 240 cavaliers (10 turmes de 24 hommes) et 760 fantassins (10 centuries de 76 hommes ).

La cohors equitata pouvait donc avec son contingent de fantassins et de cavaliers, se suffire à elle-même. Ces troupes qui constituaient des corps indépendants assuraient le service de garnison dans les provinces et aux frontières de l'Empire.

Les alae equitum étaient comme les cohortes de pedites soit quingenariae. 480 hommes et 16 turmes, soit miliariae, 960 hommes en 24 turmes.

Au début les troupes auxiliaires servaient dans les provinces autres que celles où elles avaient été levées, mais dans les derniers temps cette règle ne fut pas appliquée et toute la cohorte fut formée de soldats de même origine, ou d'origines souvent diverses, servant dans leur pays. Le commandant d'une cohorte était le praefectus cohortium tiré des anciens primipili légionnaires. Ce praefectus pouvait prétendre au rang de tribunus légionum et puis de praefectus équitum, ce qui était le couronnement de la carrière de ceux qui n'appartenaient pas à l'ordre sénatorial. Le commandant d'une cohorte pouvait aussi quelquefois recevoir la dignité de tribun, mais seulement à titre de distinction personnelle.

Il y avait parmi les cohortes auxiliariae quelques éléments qui étaient considérés comme supérieurs aux autres c'étaient les cohortes voluntariorum, et probablement aussi les cohortee miliariae.

3°) LA GARDE IMPERIALE ET LA GARNISON DE ROME.

L’oligarchie romaine avait interdit aux soldats de tout grade l'accès de Rome : avec la conquête la démilitarisation des territoires s'étendit largement. Cependant les Césars sentaient la nécessité d'avoir sous la main une force armée importante. Pour avoir une garnison à Rome sans bousculer les vieux principes fondamentaux, il suffisait de changer les noms des unités à ce destinées. Au lieu de légions on mit des cohortes, leur présence dans le territoire n'était donc pas illégale.

LES COHORTES PRAETORIAE étaient un corps d'élite chargé, sous la République, de protéger le quartier général et la personne du commandant en chef. Mais comme sous l'Empire la dignité de commandant en chef était conférée à titre permanent au prince résidant à Rome. le praetorium fut transporté dans cette ville et la garde réorganisée par Auguste. Au début la garde était commandée par l'empereur : par la suite il délégua ce pouvoir à des praefecti, qui commandaient en son nom.

Il y avait ordinairement deux praefecti, mais il en eut parfois un seul et souvent 3.

La garde impériale se composait de 9 cohortes praetoriae, dont 3 logées — sous Auguste — dans divers quartiers de Rome faisaient leur service au Palais Impérial. Les autres étaient disséminées en Italie surtout dans les résidences impériales.

Sous Tibère. les prétoriens furent groupés par Séjean dans la caserne fortifiée de la porte Viminale. Cette concentration leur donna une grande puissance et une importante situation politique, qui leur permit de faire et de défaire les empereurs.

Vitellius amena à 16 le nombre de ces cohortes, Vespasien n'en trouva que 9. plus tard et jusqu'à la fin du III° siècle il y en eut 10 seulement. Enfin Constantin le Grand les abolit complètement.

Toutes les cohortes prétoriennes étant des cohortes miliatiae equitatae, à chaque centurie était rattachée une turma equitum.

Chaque cohorte commandée par un tribunus avait 10 centuries et 10 turmes. En 193. Septime Sévère fixa en Italie un fraction importante de l'armée régulière. Le praetorium devenu amolli et indiscipliné fut dissous et reconstitué sur des bases nouvelles. Ce furent non plus des légionnaires qui fournirent désormais les prétoriens, mais des soldats des légions, de fidélité éprouvée et versés dans ce corps par avancement après un long service. Les cohortes prétoriennes devinrent de ce fait de véritables corps d'élite, jouissant d'avantages spéciaux; haute paye; temps de service moins long — 16 ans au lieu de 20 —;

solde spéciale. Les prétoriens du reste, eurent toujours une solde particulière. Ainsi sous la République la solde des légionnaires était de 1200 as ou 120 deniers par an, les prétoriens recevaient une demi-solde en plus soit 180 deniers. A partir de César les légionnaires reçurent 3 stipendia ou 3 fois 1200 as soit 3600 as par an, les Prétoriens eurent toujours double solde soit 7200 as ou 720 deniers ou 2 deniers par jour. Cette solde s'éleva toujours dans la même proportion, quand la solde des légionnaires fut augmentée.

LES STATORES AUGUSTI formaient un corps, placé sous les ordres du praetectus praetorio, divisé en plusieurs centuries. Il y avait déjà des statores au temps de la République. il semble qu'on puisse les confondre avec les licteurs, mais sous l’Empire ils furent au service de l'Empereur seulement.

LES COHORTES URBANAE. - Etaient sous les ordres du praefectus urbi ou préfet de la ville. Elles ont été créées par Auguste et organisées définitivement par Tibère. Primitivement leur nombre était de 3 et elles étaient placées à la suite des cohortes prétoriennes. Sous Claude elles furent au nombre de 7, mais Vespasien les ramena à 4. L'effectif de ces cohortes était le même que celui des cohortes prétoriennes : 1000 hommes. Chacune d'elle était commandées par un tribun.

La durée du service y était de 20 ans, et la solde de 360 deniers. Composées au début de soldats recrutés en Italie seulement on finit par y admettre des provinciaux.

LES COHORTES VIGILUM. — En l'an 6, Auguste organisa une milice chargée du service des incendies, de la police de la ville, de l'arrestation des voleurs et des brigands. Elle fut placée sous les ordres d'un praefectus vigilum d'ordre équestre.

C'était une fraction de l'armée permanente, les officiers obtenaient de I avancement dans les légions, les cohortes urbanae et les cohortes praetoriae. Mais son service était tout spécial ce qui justifiait son équipement et son organisation. Elle se recrutait parmi les affranchis qui obtenaient droit de cité d'abord après 6 ans puis après 3 ans de service et pouvaient ensuite continuer leur service dans un corps quelconque. Il y avait 7 de ces cohortes réparties dans les 14 régions de Rome, chaque cohorte sur 2 régions, chacune ayant un corps de garde — excubitotium — dans les 2 régions.

Chaque cohorte comptait 1000 hommes, et peut-être de cavaliers, divisés en 7 centuries. Les officiers des cohortes vigiuim étaient le praefectus vigilum, le subpraefectus vigilum, 7 tribuns, 49 centurions et un grand nombre de principales.

(Jeux de la Gladiature, l’Origine et propagation des amphithéâtres Gallo-Romain)

4°) TROUPES ÉTRANGÈRES DE LA GARNISON DE ROME. —

Il y avait dans Rome des corps étrangers dont la constitution varia suivant les époques. Ainsi Auguste eut une garde germaine, les Germains ou Batavi, au service de sa maison impériale comprenant des cavaliers et des fantassins, répartis en décuries. Cette garde fut dissoute par Galba, mais reconstituée par Caracalla sous la forme équestre.

LES EQUITES SINGULARES AUGUSTI (3). — Etaient un corps d'élite composé de soldats originaires des régions barbares du nord. La durée du service y était de 25 ans. le recrutement se faisait parmi les auxilia. Ils avaient à peu près le même rang que les prétoriens et étaient placés dans le camp à côté d'eux. S'ils entraient dans les légions ils y étaient nommés d'emblée centurions. Ils formaient deux corps casernés à Rome dans la castra priota et la castra nova Severiana. Comme les prétoriens, ils ne quittaient leurs quartiers que si l'Empereur partait pour une expédition. Ils étaient placés sous les ordres du praefectus praetorio ; chaque division avait à sa tête un tribun. Ils avaient chacun à leur service un ou plusieurs esclaves.

LES FRUMENTARII formaient à Rome une division, mais ne constituaient pas de corps spéciaux. Ils étaient détachés des légions qui comprenaient un certain nombre de frumentarii parmi leurs principales. Ils étaient chargés des divers services des approvisionnements et du courrier.

5°) LES MILICES PROVINCIALES ET MUNICIPALES. — Dès le règne d'Auguste l'élite de l'armée, les légions, avaient été portées aux frontières de l'Empire. Il n'y avait donc dans les provinces que de tous petits détachements de troupes régulières incapables de maintenir l'ordre ou de repousser une attaque.

Ces détachements étaient chargés de divers services, garde des proconsuls, des praefectus orae maritimae, des prisons, etc. …C'étaient quelquefois des troupes auxiliaires.

Aussi les autorités impériales pouvaient-elles entourer leurs villes de fortifications, requérir pour tous ces travaux tous les habitants (colons et étrangers) et appeler aux armes tous les citoyens pour défendre le territoire de la cité en cas d'attaque ou d'incursion des ennemis.

Il y avait en outre, dans plusieurs provinces, même là où cantonnaient parfois des légions régulièrement constituées, une milice provinciale, pour parer à certaines éventualités. Enfin, en cas de danger pressant le gouvernement imposait aux municipes l'obligation de fournir un certain nombre d'hommes ou de vaisseaux et pouvait même prescrire la levée en masse de toute la population en état de porter les armes.

Organisation des légions romaines d'Auguste à Alexandre Sévère - 2000 ans de l’Arc Germanicus de Saintes 2

La légion VIII a été créée par César probablement en 59 av. J.-C., mais peut-être plus tôt selon différentes sources. Entre 58 et 51 av. J.-C. elle s'est battue dans la Guerre des Gaules, notamment lors des célèbres batailles de Gergovie et d'Alésia. Après huit ans de campagnes, la VIII termine glorieusement cette guerre. Elle y gagne son titre de Legio VIII Gallica et l’estime de tous : « César avait avec lui ses légions les plus anciennes, d’un courage incomparable : la VII, la VIII, la IX puis une autre la XI…mais qui pourtant, après huit ans de campagnes, n’avait pas, comparée aux autres, la même réputation de solidité éprouvée.

Aujourd'hui, des groupes de reconstitution français, anglais, américain, allemand, ... reconstituent cette légion. L’association Légion VIII Augusta d'Autun (71) reconstitue la vie du légionnaire à l'époque flavienne, entre 69 et 96 après Jésus-Christ. Cette association est constituée de 130 bénévoles qui continuent près de 2 000 ans plus tard à faire vivre cette légion à travers différentes activités comme des manœuvres, tirs d'artillerie avec des scorpions et des manubalistes, des ingénieurs ainsi que la vie de camp et la cuisine de l'époque.

https://leg8.fr/

La Legio VI Ferrata (VIe légion « couverte de fer », référence probable à son armure) fut une légion romaine recrutée en 52 av. J.-C. par Jules César en Gaule cisalpine.

LEGIO VI FERRATA est un groupe de reconstitution historique

Legio VI Ferrata a vu le jour à Arles en septembre 2008.   Rassemblant des passionnés d’histoire et de reconstitution historique, elle a pour objet de promouvoir l’histoire et la civilisation romaine,  par la reconstitution historique,  la recherche, l’étude de tout ce qui a attrait à la vie civile, politique et militaire des mondes antiques, par la conception et mise en place de spectacles et  manifestations historiques, l’organisation de prestations d’animation, de reconstitution historique ou d’actions pédagogiques lors de manifestations à caractère historique et culturelle, interventions pédagogiques dans les établissements scolaires, expositions, conférences, publication, cours, ateliers et stages, voyages, et toutes initiatives pouvant aider à la réalisation de l’objet de l’association. https://www.legio6.com/

 

 

Les 2000 ans de L'Arc de Germanicus à Saintes et de l’amphithéâtre des Trois Gaules à Lyon <==.... ....==>

Armée Romaine, la Garde prétorienne - (Puy du Fou) <==.... ....==> Grades de l'armée romaine Dux Bellorum signifie "chef des batailles"

La tortue romaine est une formation défensive des armées romaines, formation inventée par les Gaulois <==


 

(1) D'après Mermeix.

2) Armés de la longue pique: contus.

(3) Le mot singulares a une autre signification: il désigne aussi les ordonnances au service des officiers de tous ordres.

 

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